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 Symbeluna

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Symbeluna
Soldat
Symbeluna

Nombre de messages : 49
Race : Humaine
Date d'inscription : 20/09/2007

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MessageSujet: Symbeluna   Symbeluna I_icon_minitimeJeu 20 Sep - 18:05

Nom : Do'delmar
Prénom : Symbeluna
Sexe : féminin
Age : une vingtaine d'années
Race : humaine

Description caractérielle : Dans ma tendre enfance, j'étais plutôt du genre renfermée sur moi même et tous les autres se moquaient de moi. Je subissais au lieu d'agir, et je restais, impuissante, à regarder les autres jouer loin de moi. Les autres, c'étaient les fils et filles des autres nobles. Le roi avait accordé à leurs familles de grands privilèges, et je n'osais pas les contrarier parce qu'ils devaient sûrement avoir raison. Mais le jour des mes dix neuf ans, ma personnalité changea du tout au tout. Ma volonté devint aussi dure que l'acier, et j'osais entreprendre tout ce que je pensais réalisable. Ma timidité m'a définitivement quittée, même si j'ai encore du mal à être vraiment à l'aise avec les gens. Pitié...je ne connais pas ces mots lorsque je combats contre mes ennemis.

Description physique : Je suis de taille moyenne, fine et élancée. Mes longs et soyeux cheveux bruns clairs tombaient en cascade sur mes épaules. Mais maintenant, ils sont attachés en queue de cheval. Les gens disent que j'ai de beaux yeux émeraudes, moi, je les trouve plutôt normaux. En fait, ce que j'aime bien sur mon visage, c'est mon nez. Fin, mais pas trop, avec une courbe élégante, en harmonie avec mon visage et mes lèvres fines.
Depuis mes dix neufs ans, j'ai abandonné les robes que je portais pour une tenue beaucoup plus adaptée au mode de vie qui est devenu le mien. Généralement, il s'agit d'un bustier, assorti d'un pantalon qui descend jusqu'à mes chevilles. Là où commencent mes bottes en cuir, faites sur mesure. Une cape ou une veste s'il fait plus froid. Question couleur, plutôt brun, vert, gris ou noir. Pas de bleu, j'ai cette couleur en horreur....
On le dirait pas comme ça, mais je suis aussi musclée que les garçons, c'est juste que ça se voit moins. Mais ce qui est sûr, c'est que question agilité, j'en dépasse certains.

Histoire :

Je suis née dans une famille de nobles. Une très ancienne famille : les Do'delmar. De mes toutes premières années, je n'ai aucun souvenir. Par contre, ils sont beaucoup plus nombreux depuis ma cinquième année, allez savoir pourquoi. Comme toutes les personnes de ma condition, j'allais à l'école et je cotoyais des gens comme moi, des fils et des filles de nobles. Certains étaient même venus de très loin pour avoir des cours dans la capitale. Et moi, j'étais fière d'y suivre des cours. Non sans quelques difficultés, j'apprenais rapidement à écrire, lire et compter. Autant de choses qui me semblaient tellements inutiles. A part la lecture car j'aimais ça. Pour le reste, je me forçait un peu pour que mes parents soient contents et m'offrent des cadeaux ou m'emmènent en promenade.
Quand j'y repense, je me rends compte à quel point j'étais stupide à cet âge là. Enfin, je n'étais pas la seule, et il y en avais des pires que moi. Ceux qui étaient dans ma classe quand j'avais quatorze ans. Ils faisaient partie de l'entourage lointain, mais alors très lointain du roi, et ils avaient à la fois la considération du roi, ses marques de confiance, et surtout, ces garçons et filles étaient adulés par les autres. Moi, je les jalousais. Ce n'était pas juste qu'ils aient tout ce qu'il y a de bien en même temps. Très vite, ils étaient devenus des minis rois. Même ceux qui nous faisaient cours les révéraient. Tout le monde, y compris moi, le faisait, alors forcément, il était difficile de trouver quelqu'un à ennuyer.
Et puis, un jour, je suis arrivée et, au lieu des habituels saluts, je fut accueillie par une pluie de quolibets et de jets de bouts de bois. Les professeurs voyaient cela, mais il ne disaient rien. Au contraire, ils souriaient presque. Alors là, je me disais que ça passerai, et que mes meilleures amies et amis me soutiendraient. Ils ne le firent pas. Au contraire, ce furent les plus méchants avec moi, comme si ils avaient quelque chose à prouver. A la maison, je faisais comme si tout allait bien à l'école. Je mentais même au sujet de mes performances.
Presque cinq années s'écoulèrent ainsi. J'avais quitté l'école presque comme une voleuse, par la petite porte. Mais mes ennuis continuaient. Partout où j'allais, j'était méprisée. Même par les soldats, et cela me choquait. Parfois, je n'avais envie que d'une seule chose, me trouver un coin où je pourrai être seule, mais à chaque fois, on me débusquait comme un lièvre.

La vie à la maison avait changé, elle aussi. Je ne m'en étais pas rendue compte car j'avais mes propres soucis en tête. Il y avait de moins en moins de promenades organisées ? Tant mieux, cela me permettait de rester chez moi, sans avoir à subir les autres. Mes parents semblaient inquiets, et, alors qu'ils s'étaient toujours inquiétés pour moi, ils ne me demandaient rien. Cela aussi, ça m'arrangeait. J'allait me coucher plus tôt, ou bien alors, j'étais seule plus souvent.
Et puis un beau soir, alors que j'étais rentrée plus tôt que d'habitude parce que j'en avais marre de me planquer, quelqu'un a frappé comme un malade à la porte d'entrée. On dirait qu'il aurait voulu la défoncer. C'était peut-être le cas, mais je n'en avais cure. Je ne voulais voir personne, alors j'ai réussi à grimper sur un meuble, puis un autre pour enfin atteindre le plafond. Mes parents étaient encore dans leur chambre. Le couloir qui donnait sur la pièce principale était étroit. Je le savais, et plusieurs fois, quand person e ne me regardait, je m'étais amusée à me plaquer contre le plafond et à appuyer de toutes mes forces contre les murs avec mes mains et mes pieds pour tenir le plus longtemps possible. Un truc plutôt tordu, en fait. Mais très utile parce que quand les gens rentraient dans un pièce, ou dans un couloir ou n'importe quoi d'autre, ils ne regardaient pas le plafond. Ceux qui me cherchaient des ennuis non plus.
Mes parents étaient finalement descendus, les traits tirés, et avec un regard brillant. Mon père posa une épée sur la table, et ma mère fit de même avant de se diriger vers la porte. comme les autres, ils ne regardaient pas le plafond et ne me virent donc pas. Juste en dessous de moi, ils crièrent à ceux qui tambourinaient contre la porte d'entrer, puis reculèrent vers la table. Le panneau de bois s'ouvrit à la volée, livrant le passage à un individu vêtu de bleu foncé sous son armure. A la différence près que celle ci n'était non pas brillante comme celle des gardes, mais noire. Il regarda mes parents qui dissimulaient leurs épées à son regard avant de dire d'une voix glaciale:

- Meryana Do'delmar et Alsyr Do'delmar, par ordre de sa sérenissime majsté le roi, et par décision du grand Conseil, vous êtes arrétés sur le champ pour hautre trahison, pacte avec l'ennemi ainsi que tentative d'assassinat sur une personne royale. Et...
- Arrêtés ? Que ça ? Sa majesté se radoucirait tant que ça ? le coupa ma mère d'une voix ironique que je ne lui connaissais pas.
- Ca ne sert à rien de nier. Vous allez être arrêtés et jugés. Vous n'avez aucune autre alternative !! menaça l'homme.
- Oh, que si, nous en avons une autre. Nous savons parfaitement ce que votre tribunal signifie, ainsi que le destin qui nous attends. répliqua mon père d'une voix glaciale. Brusquement, il se porta en avant tout en tirant l'épée de dessus la table pour porter un coup d'épée au chef des patrouilles royales - je me souvenais enfin de qui il était.
Cette attaque subite du le prendre au dépourvu, et il retira sa main juste à temps pour ne pas perdre des doigts. Enfin, certains étaient salement amochés. J'espérai qu'il ne pourrait plus s'en servir. Je m'apprêtait à faire comprendre à mes parents que j'étais au dessus d'eux, mais à ce moment là, au moins une dizaine de soldats péntrèrent dans la maison. Mon père et ma mère parvinrent à les tenir à distance respectable sous le regard glacial du chef des patrouilles royales. Devant l'incapacité de ses hommes, il fit un geste, comme si il déployait un éventail, sauf qu'il n'en avait pas.
Presque immédiatement après, une vague de chaleur m'assailli tandis que des flammes bleuâtres passaient la porte en ronflant. Les soldats furent pris au dépourvus, tentèrent de fuir mais ils ne furent pas assez rapides. Puis une autre barrière de feu s'était formée. tout ceux qui étaient en dessous de moi étaient piégés, et mes parents étaient parmi eux. De là où j'étais, je pouvais tout voir, notamment les flammes en dessous de moi. Mes msucles commençaient à me faire souffrir, mais je n'avais pas le choix. C'était tenir ou mourir. J'optais pour la première solution.
Déjà, les premières flammes avaient touché les soldats. Malgré leurs armures, ils s'enflammèrent et se transformèrent l'espace de quelques instant en torches de feu. Ils tentèrent de fuir en hurlant, et en se roulant par terre, mais les flammes refusaient de le lâcher. Pire, elles semblaient les brûler au ralenti. Une odeur de cochon grillé assailli mes narines tandis qu'une fumée acre me piquait les yeux. Le feu avait déjà atteint tous les soldats qui se tordaient de douleur. L'un d'entre eux semblait même brûler de l'intérieur. J'aurai voulu crier, mais ce que firent mes parents me cloua le bec. Ils se regardèrent, puis s'embrassèrent rapidement. Je les regardait faire, espérant qu'ils allaient s'enfuir chacun de leur côté, se séparer pour ne pas être retrouvés. Au lieu de cela, chacun empoigna l'épée de l'autre et, avec un dernier regard, ils s'entretuèrent. Au lieu de s'effondrer lamentablement, ils tombèrent à genoux tandis que du sang perlait de leurs lèvres et commençaient à rougir leurs vêtements. Puis, ils s'embrassèrent une dernière fois avant de succomber. Les flammes allaient les atteindre. Je fermais les yeux pour retenir mes larmes et attendre que ça se calme. Pour me réveiller de ce cauchemard.

Combien de temps je restais là, plaquée contre le plafond, les muscles douloureux et tremblants, je ne saurais le dire. Mais lorsque je les rouvris, il faisait nuit noire et tout était désert. J'aurai voulu rester davantage, mais j'entendais des voix qui se rapprochaient. Tout en essayant de ne pas jeter un regard aux deux corps carbonisés, je titubais jusqu'à ma chambre et sorti par ma fenêtre. Les gardes de la porte séparant le ville haute de la ville base étaient occupés à empécher une foule de gens à passer dans la partie haute. Ils ne firent pas attention à moi, et je me glissai dans la foule, espérant un on ne sait quoi quie me permerttrai de sortir de la foule sans être repérée. Je n'eu pas à attendre longtemps. Une voix glaciale, la même que celle qui avait signé l'arrêt de mort de mes parents donna des ordres brefs. Presque immédiatement, je sentis une vague de flottement dans la foules. Ils avaient peur, et ils avaient raison. Cet homme était un magicien, il avait tué ses propres hommes, et pire, il avait tué mes parents. A cette pensée, mon coeur se serra douloureusement. La foule finit par repartir vers la ville basse, et je suivis le mouvement d'un pas incertain jusqu'au premier coin sombre. Je m'appuyai contre le mur et me laissai descendre le long de la surface rugueuse pour pleurer en silence. Je ne sentis même pas le sommeil venir me prendre dans son étrainte réconfortante. Je me réveillai le lendemain matin, les yeux rougis, et mon ne battait plus que dans un seul but....

J'avais dix-neuf ans, et je venais de décider que je tuerai l'un des hommes les plus puissants du Ropyaume de Maelor de mes propres mains.
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Symbeluna
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